C’est quoi la psychomotricité relationnelle ?

BORGES, Raphaella Kharéniny Fernandes de Melo

MACIEL, Rosana Mende

BORGES, Raphaella Kharéniny Fernandes de Melo ; MACIEL, Rosana Mendes. Influence de la natation sur le développement psychomoteur des enfants scolarisés dès la petite enfance. Revue scientifique multidisciplinaire de la base de connaissances. Année 1. Vol. 9. pp. 292 à 313, octobre/novembre 2016. ISSN 2448-0959

SOMMAIRE

La natation, appliquée de manière ludique, applique plusieurs possibilités afin que ses praticiens développent leur motricité. En effet, dans l’eau, il est possible de vivre des situations difficiles qui développent mieux les habiletés motrices et physiques. La natation est importante pour le développement de la motricité en aidant à améliorer les capacités physiques et les compétences des praticiens, même en aidant à développer la coordination des membres supérieurs et les inférieurs, l’agilité, l’équilibre et la latéralité pour améliorer le processus d’apprentissage. Pour la formation, les professionnels de la natation sont l’activité la plus complète par ayant un plus petit nombre de restrictions et étant un sport d’une grande valeur pour le développement et la maturation. Le but de cette étude était de présenter les avantages de la natation, en travaillant de concert avec les compétences psychomotrices, les éléments psychomoteurs de la natation aidant les résultats d’apprentissage. Il s’agissait de mener des recherches bibliographiques visant à présenter la réalité de la pratique de la natation et sa contribution au développement de la psychomotricité.

Mots clés : natation-psychomotricité-développement.

PRÉSENTATION

La natation est un stimulant et l’adaptation au milieu liquide favorise d’importants stimuli psychomoteurs. Grâce à l’eau, les activités peuvent obtenir une extension du répertoire moteur, aider à la maturation et amener la personne pratiquant un sport à développer des compétences motrices, cognitives et affectives et à augmenter les possibilités de sociabilité et de confiance en soi (CORREA ; MASSAUD, 1999).

Il est indéniable de hache ; Ruffeil (y/d) que la natation est d’une importance fondamentale pour la formation de la personnalité et de l’intelligence. Les émotions sont également liées à la réalisation d’activités sur le milieu aquatique et celles-ci peuvent influencer positivement et négativement les performances de votre praticien, c’est en ce sens que l’instructeur de natation explore les compétences de loisirs impliquant des émotions de joie et d’altruisme.

Une autre caractéristique de la natation est son rôle important dans la psychomotricité. La natation, dans ce contexte, est un instrument qui favorise l’apprentissage dans le développement contribue à l’évolution du développement moteur, physique et social car c’est une activité physique qui améliore la motricité multiple par le biais d’exercices et de jeux.

Cette étude vise à présenter les avantages de la natation travaillée en conjonction avec les compétences psychomotrices, la natation où les éléments contribuent aux résultats d’apprentissage psychomoteur.

Dans ce contexte, l’importance de la natation dans le développement psychomoteur, est capable d’améliorer la capacité et capacité de l’enfant dans les premières années, contribue à développer la coordination des membres supérieurs et inférieurs, l’agilité, l’équilibre et la latéralité permettant le développement d’une motricité améliorée et l’apprentissage par processus.

Pour l’enseignement professionnel, la natation est plus complète, car elle comporte moins de restrictions et est d’une grande valeur pour le développement physique de l’enfant, avec la construction du schéma corporel et le moteur du développement participe grandement à la construction du diagramme corporel et au développement de la maturation de l’organisme.

Pour la société, ce n’est plus seulement un loisir pour l’enfant d’apprendre à nager, les enfants en phase préscolaire se développent mieux et plus rapidement, obtiennent des résultats satisfaisants en matière d’éducation, de santé et de loisirs. La pratique de la natation aide à prévenir les enfants obèses, essentiels à une vie saine grâce à des compétences simples, qui se font uniquement dans l’eau.

MÉTHODE

Comme nous avons décidé d’utiliser le méthodologie une revue de la littérature et a servi des monographies, des articles et des livres de l’instrument. Il dessert également des sites Web d’outils de recherche tels que SCIELO et LILAS. Le matériel choisi visait notamment à présenter la réalité actuelle de la natation et la contribution de cette activité à la psychomotricité, ce matériel a été publié entre 1995 et 2014. Ce sont les mots clés qui ont guidé le choix du matériel : enfant, stades de développement, maturation, psychomotricité, natation, temps de jeu et développement de la motricité.

La période de collecte qui a eu lieu entre février et septembre 2016 et le matériel collecté a été analysée, étudiée et revue jusqu’à ce qu’il arrive pour les considérations finales sur la façon de nager, la psychomotricité fondamentale qui comprend, les propositions et les stratégies pédagogiques développées lorsque la pratique de l’aquatique activités ainsi que sa contribution au développement psychomoteur dans l’intervention éducative dans le milieu aquatique.

Par conséquent, vous pouvez vous assurer que la natation est excellente activité physique pour tous les publics car c’est une activité qui favorise la capacité cardiorespiratoire, améliore le tonus, la coordination, l’équilibre, l’agilité, la force, la vitesse, développe des compétences psychomotrices telles que droitier et gaucher, tactile, auditif et visuel, les perceptions spatiales et les notions temporelles de rythme, sociabilité et confiance en soi. Et enseigné de manière aussi ludique, stimulant les activités, se baignant plus que la recherche de la technique elle-même, de sorte que cette activité devienne agréable et recherche pour le développement intégral de l’enfant et offre un large éventail d’expériences corporelles.

1. PISCINE

Pratique en milieu aquatique et avec une histoire qui remonte à la Grèce antique, la natation est considérée comme une activité physique bénéfique pour le corps humain afin de travailler plusieurs groupes musculaires et articulations du corps et de développer le cœur et le système respiratoire. Comme toute activité sportive, avant de pratiquer, l’individu doit obtenir un professionnel conseils et subir des tests d’évaluation médicale. Au départ, l’histoire soulignait que la pratique de la baignade en mer ou en rivière, et la principale préoccupation à cette époque était la survie (GOMES, 2014).

La natation est très répandue en tant qu’activité récréative dans laquelle les nageurs entrent dans l’eau juste pour le plaisir et comme sport de compétition. Les rivières, les mers, les lacs et les piscines artificielles sont le stade de cette activité. Il est connu que la natation améliore également la coordination motrice, en plus d’être recommandée aux personnes souffrant de problèmes respiratoires et que l’activité physique ne convient qu’aux enfants de moins de 3 ans (CATTEAU ; GAROFF, 1990).

• Adaptation à un milieu liquide

Pour l’activité de natation, il est nécessaire d’encourager une relation étroite entre l’eau et le futur nageur. Pour être nageur, il est important que l’individu souhaite arroser, voir l’eau et sentir l’eau en premier, éliminant ainsi la rigidité qui est commune au sentiment de peur de l’eau (ROHLFS, 1999).

Après la raideur musculaire, la prochaine étape d’adaptation au milieu liquide flottera. La fluctuation est liée à la relaxation musculaire qui est généralement associée à un bon état mental, absent donc dans les situations de peur et d’anxiété (BONACHELA.1992.

La respiration est un contenu essentiel pour le confort dans le milieu liquide et dépend de l’adaptation, comme d’habitude. La bouche sous le nez constitue un obstacle au milieu aquatique. La pratique d’exercices spécifiques doit rendre la respiration régulière, la respiration étant considérée comme « l’âme apprenant » de la natation car, lorsque l’apprenti peut dominer, il devient capable de concrétiser l’initiation scéenne des styles et évolue ensuite dans l’apprentissage de ceux-ci (GALDI, 2004).

C’est également, pour l’adaptation au milieu aquatique, la propulsion, qui est la capacité de locomotion corporelle dans le milieu aquatique par l’exploitation de leurs ressources et par le biais de action des membres supérieurs et inférieurs. La propulsion est essentielle à la course (ROHLFS, 1999).

En compte lors du positionnement de la poitrine et de la circulation des jambes et des bras, sont déterminés à quatre types d’AVC : crawl (nage libre), papillon, poitrine et dos. Compétitions de natation quatre nages, les nageurs doivent nager les quatre styles dans l’ordre suivant : papillon, dos, brasse et crawl. Les techniques de chacune couvrent des sujets qui observent la position du corps dans l’eau, le mouvement des bras et des jambes, la respiration et la coordination/synchronisation de chaque style (GALDI, 2004).

• Analyse du style

Dans ce style, le nageur en décubitus dorsal adopte une posture horizontale plate à la surface de l’eau, avec le corps. La principale caractéristique du style crawl est composée de mouvements alternés des membres supérieurs et inférieurs étendus. La tête, les épaules, le tronc et les jambes sont situés le plus près possible de la surface, ce qui empêche augmentation des forces de frottement, qui entravent la progression (GALDI, 2004).

Le mouvement des membres supérieurs, connu sous le nom d’accident vasculaire cérébral, une circundação antéro-postérieure, se distingue en deux moments importants : la phase de récupération, qui comprend le temps entre la sortie et l’entrée des membres supérieurs dans l’eau ; et la propulsion, scène sous-marine, responsable de la progression d’un nageur (GALDI, 2004).

Au début de la récupération, le coude est la première partie du corps pour briser la surface de l’eau. Ce mouvement, lorsqu’il est effectué correctement, assure une entrée efficace des membres supérieurs dans l’eau. Dans cette chaîne, les doigts sont les premiers à toucher la surface de l’eau, suivis de la main, de l’avant-bras, du bras et de l’épaule. Lorsque ces discussions entrent dans l’eau, la phase propulsive de la course, qui est divisée en deux parties : la traction, dont l’objectif est de tirer la masse nette et de la pousser ou de l’élan, maintenue par l’extension progressive du membre supérieur, qui est conjointement responsable du mouvement du nageur devant (GALDI, 2004).

L’action de base des membres inférieurs, connue sous le nom de coups de pied, est composée d’une alternance de mouvements de montée et de descente, dans le plan vertical. Il vise principalement à stabiliser et à maintenir l’équilibre, et non à manifester la force propulsive (COUNSILMAN, 1984).

La position ventrale, avec immersion de la tête et l’autre action des membres supérieurs, la respiration se produit latéralement. Comme son nom l’indique, dans ce style, le nageur reste allongé, dans une position horizontale plane à la surface de l’eau et est en phase de récupération et peut également être initié à la fin de la phase de propulsion. Comme elle sera de retour dans l’eau, la tête revient à sa position initiale, ce qui sera l’expiration (GALDI, 2004).

• Nouveau style

Dans ce style, l’individu placé en décubitus dorsal, en position horizontale plane à la surface de l’eau, avec le corps étendu. La tête est maintenue dans sa position naturelle, ou légèrement inclinée, avec le menton vers la poitrine, empêchant le visage d’être recouvert d’eau. Comme dans l’analyse, les caractéristiques sont alternées, mais avec circundação antérieure et postérieure, ont les deux phases : la propulsion et la récupération. Dans ce cas, comme suit : le mouvement commence par la libération du membre supérieur de l’eau, prolongée depuis le moment de la cuisse, qui est soulevée par un chemin semi-circulaire. La vitesse d’exécution permet la compatibilité entre la phase de propulsion d’un membre et la phase de récupération de l’autre, et il est important qu’ils soient fabriqués avec un minimum de turbulence (GALDI, 2004).

La traction est réalisée sur l’un des membres supérieurs en immersion, légère flexion du coude et profondeur modérée. Caractérisé par l’immersion du bras et de la main, celui-ci au niveau des inflexions « tire » puis pousse l’eau vers les pieds du nageur. Ce sentier suit jusqu’à la fin de la scène sous-marine, lorsque les bras et les mains s’étendent à peu près à la ligne des hanches (GALDI, 2004).

Le dos ressemble beaucoup au crawling ; certains auteurs en viennent à le caractériser comme une analyse sur son dos. Semblable à la marche de l’analyse, l’action des membres inférieurs est également responsable du maintien de la stabilité du corps dans l’eau, car elle équilibre les oscillations et les déviations dues aux inexactitudes de la course, participant également à la propulsion de la natation. Ce mouvement se joue en alternance avec un mouvement vertical dans le plan vertical. Parce que le nageur doit rester en permanence, le visage hors de l’eau, n’a pas de difficulté à respirer (GALDI, 2004).

Le rythme d’une inspiration de chaque cycle de course est le plus largement utilisé, c’est-à-dire basé sur une récupération des membres supérieurs et expire sur la scène elle-même de l’autre. Étant donné que la coordination générale des mouvements est réalisée avec une pratique constante, nous devons apprendre chaque mouvement de manière isolée, bien que peu améliorée, chercher ensuite à unir les éléments à un rythme soutenu et correct. Le rythme du dos est très similaire à l’analyse, ce qui amène certains auteurs à le décrire comme une analyse en amont (GALDI, 2004).

• Poitrine de style

La brasse se caractérise par une nage symétrique et simultanée, c’est-à-dire que les mouvements effectués par le côté droit du corps sont tous deux accompagnés de mouvements identiques sur le côté gauche. De la position couchée et élargie, avec la tête entre les membres supérieurs ; Ceux-ci sont guidés vers l’arrière et, en pliant le coude, la recherche d’un soutien pour la poitrine et la tête peut émerger et ensuite fournir la source d’inspiration. Actuellement, l’inflexion se poursuit jusqu’à ce que la main passe sous la ligne des épaules et sous la poitrine, lorsque le bras se dirige vers le tronc voisin et s’étend au-dessus de la tête (GALDI, 2004).

En plus de la partie supérieure, les membres inférieurs, également au début de la position étendue étant ensuite pliés et les pieds sont soumis à la flexion plantaire et à la rotation externe. Ensuite, les jambes sont allongées et Centraide et vos pieds suivent le même mouvement, poussant la masse nette et permettant le mouvement (GALDI, 2004).

La poitrine est symétrique et nage simultanée où les mouvements du côté droit du corps s’accompagnent de mouvements du côté gauche. La poitrine retenant le souffle est à l’avant et à l’aide du tronc, pour monter en flèche, grâce au soutien du mouvement des bras tendus, fait la tête au-dessus de l’eau (GALDI, 2004).

• Style papillon

Le style papillon, ainsi que la poitrine, résultent de l’exécution de mouvements symétriques entre les membres et également réalisés en position ventrale couchée. Initialement, le corps est agrandi avec les membres supérieurs, alignés avec le reste du corps, à la surface de l’eau. La tête reste dans sa position naturelle afin que le haut de la tête du nageur puisse être lu (GALDI, 2004).

En raison de la Circundação antéro-postérieure simultanée des membres supérieurs, leur attribue une grande partie de la responsabilité de la propulsion. Comme dans d’autres styles, la forme et la trajectoire de ce mouvement permettent de décrire votre action en deux phases : récupération () et propulsion (sous-marine), également différenciées en deux autres étapes (GALDI, 2004).

La reconstruction implique le départ des membres de l’eau en position sortie et la position des mains sur la hauteur de la cuisse. Le coude est le premier à casser cette surface après avoir légèrement plié, traînant avec lui, les avant-bras et les mains, toujours détendus. Lorsque les membres sont projetés vers l’avant, le coude et l’épaule sont allongés. Une fois immergés, les membres supérieurs commenceront à tirer ; mouvement dirigé vers l’extérieur et jusqu’à la ligne des épaules, lorsque la trajectoire (GALDI, 2004).

En raison de l’action propulsive des membres plus hauts, leur attribue une grande partie de la propulsion de la natation. Lorsque les membres supérieurs sont plus proches de l’axe sagittal de l’ corps du nageur, extension progressive, avec phase de poussée sous-marine (GALDI, 2004).

Dans ce style, les branches sont également dans le plan vertical et, en même temps, mais contrairement aux autres styles, agissent en rapport avec le pool de propulsion (GALDI, 2004).

Le rythme cardiaque des jambes ressemble au mouvement de la queue du dauphin : les étirements des pieds et les jambes unies se déplacent comme s’ils n’étaient qu’un, dans un mouvement d’avant en arrière. La dernière phase est plus puissante, s’accompagne d’une élévation des hanches, tandis que l’ascendant est moins vigoureux. Cette variation de force qui surveille le mouvement des jambes est responsable de l’effet d’entraînement que le corps exerce pendant l’action de natation (GALDI, 2004).

Deux coups de pied de jambes sont effectués pour chaque cycle de bras. La première est réalisée dès que la phase de propulsion du bras est réalisée ; Cela contribue à un effet de poussée capable de concevoir le nageur vers l’avant. La seconde se produit après que les bras sont à nouveau entrés dans l’eau. C’est pourquoi stipule que l’inspiration est fait à la fin de la traction des bras, en soulevant le mouvement de la tête : il est très rapide, exécuté par la bouche, ce qui indique que peut se produire à une fréquence d’un ou deux tours, étant celle correspondant au niveau de développement du nageur. L’expiration se manifeste tout au long de la phase de nage où la tête est submergée (GALDI, 2004).

PSYCHOMOTOR 2 sur L’ÉDUCATION PRÉSCOLAIRE

La psychomotricité dans l’éducation des enfants est un moyen de contribuer au développement des enfants, à travers des expériences motrices, cognitives et socio-afetivas essentielles à la formation. Ainsi, la psychomotricité inclut toutes les mesures prises par l’individu et intègre la psyché et la motricité, visant un développement global mettant l’accent sur les aspects émotionnels et cognitifs qui conduisent l’individu à prendre conscience de son corps par le mouvement (AGUILAR ; SILVA, 2013).

La psychomotricité est basée sur une conception unifiée de la personne, qui comprend les interactions cognitives, sensoriomotrices et mentales dans la compréhension et la capacité de s’exprimer par le mouvement dans un contexte psychosocial. Il est constitué par un ensemble de connaissances anthropologiques, physiologiques, psychologiques et relationnelles qui permettent au corps d’être utilisé comme médiateur, abordant l’acte moteur humain dans le but d’encourager l’intégration de cette question avec vous et avec le monde et d’autres sujets (COSTA, p. 26, 2002).

Nous savons qu’il existe des étapes clés du développement psychomoteur de l’enfant qui sont d’une grande utilité et que la compréhension des concepts de compétences psychomotrices dans l’éducation des enfants est fondamentale pour respecter le processus d’apprentissage des enfants. Il est important que l’enseignant en éducation de la petite enfance soit conscient que l’enfant joue dans le monde grâce au mouvement et qu’il créera jusqu’à cette rencontre professionnelle et au stade du développement moteur, pour pouvoir proposer des activités basées sur les notions de psychomotricité, curriculum vitae et projets dans lesquels les enfants utilisent le corps comme moyen d’explorer, de créer, de jouer, d’imaginer, de ressentir et d’apprendre (AGUILAR ; SILVA, 2013).

L’enseignant assume le rôle de facilitateur, permettant à l’enfant de vivre des situations plus variées, avec des expériences concrètes de stimuli et vécues avec tout le corps, apportant la psychomotricité dans un aspect pédagogique et préventif. À cette fin, les enseignants doivent être conscients que dans l’enseignement, le processus d’apprentissage de l’éducation est une pierre angulaire dans le domaine de l’éducation (AGUILAR ; SILVA, 2013).

L’enfant doit vivre son corps via une fonction motrice, et non dans les principaux groupes musculaires pour participer et obtenir les petits muscles, responsables des tâches plus précises et ajustées. Avant de prendre un crayon, l’enfant doit avoir, d’un point de vue historique, une grande utilisation de la main au contact de nombreux objets. (FONSECA, 89 p., 1993)

Enfin, Gonçalves (2011) précise que,

Comme vous pouvez le constater, la psychomotricité vise à voir l’humain être dans son intégralité, ne séparant jamais le corps (sinestesico), le sujet (relationnel) et l’affectivité ; Par conséquent, il cherche, par un acte moteur, à établir que l’équilibre est, en lui donnant la possibilité de trouver votre espace et de s’identifier aux moyens dont il fait partie. (GONÇALVES, p. 21, 2011).

2.1 stade de développement psychomoteur selon Piaget et Wallon

Il est important de noter qu’en psychologie du développement et de l’apprentissage, tous les travaux d’Henri Wallon et de Jean Piaget ont mis en évidence le rôle de l’activité de l’organisme dans le développement des fonctions cognitives. Wallon soutient que la pensée est née pour revenir à lui et à Piaget que sur l’activité de l’organisme, l’enfant pense, apprend, crée et fait face à des problèmes (DOS SANTOS ; COSTA, 2015).

Piaget (1896-1980) il s’est consacré à l’épistémologie génétique (développement et connaissance de l’être humain) et est reconnu pour son travail d’organisation du développement cognitif par étapes et réalisé à partir de l’observation des enfants. Dans cette ligne, Piaget a cherché à identifier comment l’homme construit ses connaissances, en préconisant que les gens passent par des étapes de développement (CARRARA, 2004).

Fonseca (2008) assure que pour Piaget, l’intelligence serait que le résultat d’ajustements en ce sens serait par l’expérience en tant qu’action que les gens pourraient changer le monde et l’intégrer, de sorte que nous pouvons dire que par le biais de la fonction motrice individuelle s’intègre extérieurement et change, ainsi que lui-même .

L’adaptation pour Piaget n’était pas un processus passif, mais plutôt un processus dynamique et continu dans lequel la structure héritée de l’organisme interagit avec l’environnement extérieur pour se reconstruire, en vue d’une meilleure survie.

Dans le travail de Piaget, la motricité joue un rôle clé dans la construction de l’image mentale, c’est-à-dire sur la question de la représentation. Pour la formation de cette représentation, Piaget a fait remarquer que, qui avait l’expérience avec la manipulation d’objets, c’est-à-dire le mouvement qui transforme cet objet par des processus sensorimoteurs. C’est une période que Piaget est appelée « intelligence pratique », au cours de laquelle l’enfant passe pour imiter et représenter des situations dont l’expérience et qui sont absorbées sous forme d’images mentales (FRANCIS, 2008).

En étudiant les structures cognitives, Piaget décrit l’importance de la période motrice sensorimotrice et de la motricité, notamment avant l’acquisition du langage, le développement de l’intelligence. Le développement mental se construit par un équilibrage progressif, un passage continu de l’équilibre de l’État plus petit vers celui-ci, des moyens de compensation, une activité, une réponse à la question, face à des perturbations externes ou internes (DOS SANTOS ; COSTA, 2015).

Henri Wallon (1879-1962), connu pour ses travaux sur la psychologie du développement, assure que l’homme serait formé non seulement par l’influence physiologique, mais aussi par l’influence sociale et a soutenu que, entre l’individu et son environnement, il est une unité indivisible, la société serait une nécessité biologique qui détermine leur développement et par conséquent leur intelligence (FRANCIS, 2008).

Pour le Wallon, la cognition repose lorsqu’il a donné le nom de domaines fonctionnels : mouvement, affection, intelligence et par personne. L’aspect moteur qui se développe tout d’abord sert d’activité de recherche objective basée sur l’expression de quelque chose par rapport à une autre personne. L’affection agit comme une forme de médiation des relations sociales exprimées par les émotions, l’intelligence traite des questions de langage et de raisonnement symbolique, et la personne, en tant que champ qui coordonne l’autre, est responsable du développement de la conscience de soi et de l’identité (FRASER, 2008).

La question des mouvements est très forte dans la théorie wallonienne et est comprise comme un instrument privilégié de communication de la vie psychique. L’enfant qui n’a pas de langage verbal, exprimé par sa cinétique, a besoin de divers aspects affectifs du bien-être ou de l’inconfort d’expression (FRANCIS, 2008).

Clarifiez,

La motricité contient donc une dimension psychique et est un décalage dans un ensemble moteur, cognitif, affectif et présenté en termes évolutifs selon le Wallon de trois manières essentielles : déplacements passifs ou exogènes, déplacements et déplacements pratiques autogènes ou actifs. (FONSECA, p. 15, 2008).

Le déplacement passif ou exogène est caractérisé par une dépendance absolue. Dépendance à des facteurs externes. La symbiose physiologique est compensée par une symbiose affective sûre. Le développement de la motricité est important pour la réalisation parfois du monde extérieur et du monde intérieur. Les décalages sont une réaction active ou autogène du corps au monde extérieur. Intégration et production de postures et de mouvements corporels dans l’espace, y compris l’interaction avec le monde et les objets de chacun. La motricité est incohérente et mal intégrée émerge d’une motricité plus constante compétences, produisant des systèmes encore plus fluides et adaptés. La mise en œuvre pratique compense les habitudes sociales des premières acquisitions et permet des fonctions constructives et créatives et un apprentissage psychomoteur. Maintenant, l’intégration sensorielle est en train de se développer à la ferme et dans la connaissance du monde extérieur et non dans le monde intérieur du I. Le mouvement d’interaction affective et de relation avec le monde extérieur, la conception de l’enfant dans le contexte social (CARRARA, 2004).

Le développement pour le Wallon est un processus où une personne passe d’un état d’implication profonde avec l’environnement dans lequel vous ne le connaissez pas et ne le reconnaissez pas varié, ce développement se produit avec la succession d’étapes, allant de l’affection à la construction du moi et de la raison comme moyen de compréhension réalité (FRANCIS, 2008).

La théorie wallonne a permis le début de la pensée psychomotrice et de l’appréciation individuelle entièrement, donne des suggestions à de nombreux autres chercheurs qui ont ont affecté leurs connaissances et contribué au développement de la pensée (FRANCIS, 2008).

La synthèse, pour l’activité de l’enfant wallon, commence par l’élémentaire et se caractérise essentiellement par un ensemble de gestes et de significations de la survie phylogénétique. Entre l’individu et l’environnement, il existe une unité indivisible. La société est pour l’homme une « nécessité organique » qui détermine leur développement et, par conséquent, votre intelligence. Avant le langage d’acquisition, la motricité, il s’agit donc d’une fonction existentielle et essentielle de l’enfant (CARRARA, 2004).

La motricité occupe une place particulière dans la théorie wallonne. Est la réponse préférée et prioritaire à leurs besoins fondamentaux et à leurs états et bases et à ses états émotionnels et relationnels. La motricité des enfants en est donc déjà à ce stade si tôt, l’expression de votre psychisme potentiel. La motricité est à la fois et dans l’ordre, la première structure de la relation et la corrélation avec l’environnement, avec l’autre en priorité et les objets plus tard. C’est la première forme d’expression émotionnelle du comportement moteur, l’enfant exprime ses besoins somatoformes autonomes ou un malaise de bien-être, qui contient lui-même une dimension affective et interactive qui se traduit par une communication somatique non verbale. Les mouvements ont une dimension psychique et sont décalés dans un ensemble moteur, cognitif et affectif (CARRARA, 2004).

Wallon propose une série d’étapes de développement cognitif. Mais il ne croit pas que les étapes forment une séquence linéaire et fixe, ni qu’une étape supprime l’autre. Pour le Wallon, s’étend plus tard et la réforme plus tôt. Le développement ne serait pas un phénomène continu sans heurts, au contraire, le développement serait imprégné de conflits internes et externes. Il est naturel que dans le développement qui se produit, des ruptures, des échecs et des retours. Même les conflits autour des scènes précédentes génèrent des phénomènes évolutifs. Le changement de chaque étape est caractérisé par un type particulier de comportement, activité prédominante qui sera remplacée dans la prochaine étape, en plus de donner à l’être humain de nouvelles formes de pensée, d’interaction sociale et d’émotions qui orienteront, maintenant, vers la construction du sujet lui-même, prie pour la construction de la réalité extérieure (CARRARA, 2004).

Travaux de Wallon montre l’importance du mouvement dans le développement psychologique de l’enfant et contribue à l’étude du développement moteur de l’enfant, notamment lors de l’analyse des stratégies et des problèmes de développement psychomoteur et mental de l’enfant (NEGRINE, 1995).

Les influences de Piaget sont plus récentes et en psychopédagogie puisque la psychomotricité remonte à ses origines et progresse dans une conception apparentée en neuropsychiatrie neurophysiologique infantile (NEGRINE, 1995).

1. NATATION ET PSYCHOMOTRICITÉ

Le déménagement permet à l’enfant de comprendre les relations nécessaires à son développement moteur et sont liés à l’environnement dans lequel ils vivent. Dans le plus jeune âge de l’enfant, il est essentiel de fournir un environnement adéquat et avec différents matériaux tels que des facilitateurs d’actions permettant la diversification du mouvement des expériences lors de l’exploration des espaces qui l’entourent (or, 2013).

En ce sens, la psychomotricité doit être incluse dans toute activité aquatique, en raison des sensations importantes dans la recherche de la conscience corporelle, organiser les sensations reçues par le milieu liquide dans lequel elle est immergée et organiser la transposition de ce mouvement dans cet espace-temps (PENHA ; Rock, 2010)

Pour apprendre les mouvements à travers des activités amusantes et variées, on offre une meilleure chance d’optimiser l’apprentissage moteur de l’enfant. La natation, développée à partir d’une forme ludique, acquiert la motricité lorsque vous rencontrez des situations difficiles. La personne qui subit une adaptation dans le milieu liquide peut avoir un meilleur développement avec un revenu plus élevé dans son comportement et capacités physiques. moteurs. Parce que par la natation, l’apprentissage nécessite des adaptations des bases et des structures des différences fondamentales entre l’eau et la terre (Golden, 2013).

Parce que la natation est considérée comme l’un des sports les plus complets et comporte moins de restrictions, la natation est un instrument très utile pour le développement physique de l’enfant. On peut également dire qu’en ce qui concerne le développement de la motricité, leur participation est claire en ce qui concerne la construction du diagramme corporel et le développement de la maturation de l’organisme (Golden, 2013).

L’activité aquatique peut être pratiquée sans restriction dès la naissance, par l’individu, dans le but de favoriser la maturation du système nerveux par la stimulation. La psychomotricité, en pratique la liberté d’expression et l’expérimentation des expériences, facilite la découverte du corps et des relations qu’il peut offrir. (PENHA ; Rock, p. 36, 2010).

La psychomotricité peut être comprise comme un moyen de structuration des éléments psychomoteurs et permet à l’individu de se connaître, de connaître son propre corps et l’environnement dans lequel il s’insère. Pour que l’enfant atteigne un bon niveau de développement psychomoteur, il doit avoir un bon domaine, une perception auditive et visuelle, une latéralisation définie, une orientation spatio-temporelle, une bonne coordination entre les autres commandes psychomotrices fines. Le plus travaillé pour son développement psychomoteur, son adaptation à l’environnement dans lequel la vie sera bien meilleure et plus significative (Golden, 2013).

La pratique psychomotrice donne une liberté d’expression aquatique et d’expérimentation d’expériences pour l’enfant, aidant à découvrir le corps et les relations avec l’autre. Nager grâce à une éducation psychomotrice qui motive la réalisation des mouvements libres et agréables dans le milieu aquatique, et stimule l’enfant à connaître l’autre manière plus simple et plus simple d’exécuter ses fonctions d’intelligence. Et en ce sens, la théorie du travail et donc une pratique indissoluble est possible d’atteindre les objectifs qui permettront d’améliorer les conditions de développement de l’enfant. Bientôt, le rôle de l’enseignant n’est pas simplement un éleveur de connaissances et d’apprentissage, mais plutôt un facilitateur qui donne des opportunités à l’élève toujours seul à cause de ses limites, dans le respect de leur individualité (PENHA ; Rock, p. 08, 2010).

Des études montrent que la natation contribue non seulement à l’apprentissage de la natation, mais aussi à son développement intégral. Dans ce contexte, la natation contribue au développement des compétences psychomotrices avec des activités de plaisir qui favorisent le développement physique, mental et socio-émotionnel (Golden, 2013).

Il existe plusieurs étapes du développement psychomoteur telles que l’adaptation, la stimulation et l’apprentissage, en respectant votre groupe d’âge, sont également couvertes, les stimuli tactiles et visuels, les sinestesicos du modèle corporel et la stimulation. Ces éléments psychomoteurs ont différents classifications, beaucoup peuvent être bien développées en natation sous coordination générale ou en motricité générale (Golden, 2013).

La psychomotricité de la natation, lorsqu’elle est bien conçue, contribue au développement de la latéralité consistant dans le domaine d’un côté du corps, où les mouvements utilisés pour travailler les deux côtés du corps, le côté droit, le côté gauche, afin que l’individu découvre leur prédominance. Grâce à cela, on détermine alors la zone fonctionnelle de l’organisme, connaissant leur latéralité dominante, qui peut être la droite ou la gauche, appelée gaucher et droitier (DALGLEISH, 1997).

Le psychomoteur vu d’un point de vue pédagogique permet de résoudre facilement les difficultés qui surgissent dans la vie quotidienne des enfants, dans une relation entre pensée et action, y compris les fonctions neurophysiologiques et psychologiques (PENHA ; Rock, 2010).

Une autre compétence qui peut être exploitée en natation est l’équilibre des compétences de maintien du corps à l’aide de base, dans un combinaison de fonctions musculaires, que ce soit la position immobile ou en mouvement. Avec un bon développement de l’équilibre, l’individu s’adaptera mieux à tout ce qui fait partie de votre expérience quotidienne (DALGLEISH, 1997).

En ce sens, la zone de développement moteur vise à étudier les changements de comportement moteur tout au long de la vie ou les processus progressifs, en fonction de l’âge et également des bases importantes de ce changement pour le développement dans son ensemble (Golden, 2013).

La conclusion que vous obtenez, est que la psychomotricité, développée par la natation, a un plaisir dynamique par l’aspect ludique, des activités spontanées, telles que le plaisir et les jeux, qui facilitent et motivent les enfants à apprendre et à se perfectionner (PENHA : Rock, 2010).

Le travail professionnel, dans ce contexte, est d’une importance capitale et devrait améliorer l’exploitation de la motricité, structurer l’environnement et adapter les activités auxquelles l’individu peut acquérir des compétences de manière naturelle et la maturation du développement moteur progressivement tout en étant soumis à des étapes spécifiques. Si l’apprentissage significatif est l’un des défis pour l’enseignant, qui recherche un sens et un sens pour ses expériences d’apprentissage. Par conséquent, le professionnel compétent et innovant doit être conscient de la méthodologie d’intervention adoptée pour chaque action, du contenu, des stratégies pour atteindre les objectifs (Golden, 2013).

Le rôle de l’enseignant est de fournir des situations difficiles et d’intervenir uniquement lorsque cela est nécessaire, de laisser la personne agir et de comprendre l’organisation des activités développées. L’un des facteurs les plus importants du développement individuel est l’intervention, à savoir quand, pourquoi et comment intervenir. Et en ce sens, l’enseignant doit être sensible aux besoins de chaque enfant tout en respectant sa réalité et montrer ainsi l’importance des relations corporelles qui affectent la qualité pour une meilleure communication (SON, 2003).

Le pouvoir d’un autre enseignant dans la relation psychomotrice dans le milieu aquatique est pour laisser le Water Act et enrichir la motivation des enfants dans l’eau, ce qui nécessitera de la mobilité, de la curiosité et de l’expérimentation pour manipuler et opérer à son départ les deux se rencontrent dans la réciprocité, la concentration, permettant la découverte de lui-même avec et dans l’eau et avec le contexte qui l’entoure. Que la Water Act assure son développement global, ses progrès dans le milieu aquatique, permettent à leurs parents de s’adonner à ce processus par le biais du corps, de la proximité affective et perspicace. Let the Water Act est de permettre le développement de l’enfant dans son intégralité, en suivant son rythme et son chemin et pas seulement de réduire les actions de natation (Golden, 2013).

Il faudrait donc fournir des moyens appropriés pour faciliter et permettre le développement et optimiser le potentiel de l’eau. Les activités développées dans le milieu aquatique avec les enfants doivent être agréables, ludiques, dynamiques, avec de la musique et différents matériaux pour que l’enfant puisse élargir naturellement vos informations (LEE, 2011).

Piscine présente un certain nombre d’avantages par rapport aux facteurs externes qui sont mauvais pour la santé et aux maladies respiratoires telles que l’asthme, la bronchite et l’obésité infantile. Et tous ces objectifs peuvent être atteints grâce à un travail efficace et efficient, développé par des professionnels et n’appliquent que les techniques, mais rendent la vie agréable dans cet environnement. Les enfants qui sont en contact avec le milieu aquatique dès leur plus jeune âge ont plus de chances de développer un apprentissage plus facile et plus rapide. Dans ce contexte, la natation des bébés est essentielle pour démarrer l’éducation physique chez les enfants et essentielle pour commencer un apprentissage organisé. Qui contribuera au développement psychomoteur et à la construction du schéma corporel, à l’intégration et à la maturation (PENHA ; Rock, 2010).

La natation pour bébés contribue de manière significative au développement de l’enfant de psicomorfológico, est donc un outil fondamental et indispensable pour leur personnalité psychomotrice et de départ. La natation avec la psychomotricité et le travail ludique sont fondamentaux éléments pour le développement de l’enfant, plus simples et plus naturels (Golden, 2013).

Ainsi, on peut se rendre compte de l’importance de travailler sur le développement de la motricité et de la psychomotricité pendant la natation, car ceux-ci contribuent directement au développement de la latéralité, de l’équilibre, de la coordination générale, entre autres. Une autre grande contribution de la psychomotricité est liée à son développement en natation, qui prévoit des situations de loisirs, de loisirs et de santé, qui contribuent à la croissance et à l’évolution des perceptions, des émotions et de l’affection (Golden, 2013).

CONSIDÉRATIONS FINALES

La natation est une pratique très importante pour le développement moteur, physique et social des enfants, car c’est un sport qui recherche un travail non seulement technique, mais aussi sa motricité à travers des exercices et des jeux de natation. L’enfant devient capable de connaître votre corps et de s’efforcer de développer pleinement son moteur, cognitif et capacités affectives, exploration et connaissance de ses possibilités En plus d’améliorer votre corps et votre système cardiorrespiratoire, ainsi que d’augmenter vos chances de sociabilité et de confiance en vous.

Cette étude a reconnu que la natation est une ressource précieuse pour développer une stimulation psychomotrice une fois (natation), des techniques et une créativité qui respectent la maturité et la capacité de chaque enfant.

Il est reconnu qu’il existe des différences significatives entre les activités menées au milieu de la terre et dans les environnements liquides, en laissant de côté les facteurs environnementaux et émotionnels qui interfèrent dans les performances du moteur pour les individus, mais soulignent la nécessité de plus d’études devraient être réalisée pour étudier les facteurs qui influencent ou limitent lors de l’évaluation du niveau de performance motrice dans l’eau.

Face à la contribution de la natation au développement psychomoteur, ce point d’étude, considéré comme important d’inclure ce mode dans les classes d’éducation physique des écoles ordinaires, car il existe de nombreux avantages ciblés par la pratique.

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Étudiant du cours d’éducation physique du Collège Patos de Minas (FPM) diplômé en 2016

Professeur d’éducation physique cours de la Faculté de Patos de Minas. Maîtrise en éducation de l’Universidade Federal de Uberlândia.

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